BIOGRAPHIE ARTISTIQUE English Italiano

"Je pense qu'il n'y a rien d'abstrait pour moi, et je pense qu'il n'y a rien de plus surréaliste, et rien de plus abstrait que le réel."

Giorgio Morandi

Dans les années 1974 - 1977 Jacquounain a acquit un crâne du cheval, qu'elle dessinais beaucoup, et ceci a donné plusieurs natures mortes et compositions.

Ce thème était repris vers 1980 – 1981 par suggestion du Père Vallet de la galerie « le Haut Pavé » en vue d'exposition.

Vers 1976, très intéressée par l'étude de composition du tableau, elle a pris pour l'exemple une des gravures de William Hogarth (artiste anglais du XVIII siècle) et cette étude a généré le série des tableaux « Violoncelle Noir » et « Violons d'automne ».


Le thème était repris plusieurs fois : en 2006 sur suggestion d'Alexandre Gama (commissaire du Salon des artistes Indépendantes) et en 2015 sur suggestion de Thierry Renaudin - Viot qui a préposé de l'exposer au Cloître des Billettes.
Pour le 2em exposition au Cloître des Billettes Jacquounain a ajouté le série des tableaux – antipodes : Narcisse.

À partir des années 1980 en France Jacquounain a fait une série de paysages et des natures mortes dans lesquels elle s'est posé comme le thème artistique principal le développement de la perspective contemporaine - ou comment présenter l'espace sur le tableau. (Dans ces années, les autres artistes ont travaillé sur ce même thème : David Hockney avec ces montages photos, Mark Brusse et ses objets composés, etc.).


Ce sont les œuvres faites sur papier par techniques mixte : peinture à l’œuf, aquarelle, collages.
Certains de ces thèmes Jacquounain a repris plus tard dans les autres séries : Marbres, Lutece , Gothicus


Progressivement, l’étude des bases mathématiques de perspective l'a mené vers la création des objets en volume : les sculptures à poser ou à suspendre.


Sur la commande de galeriste J. C. Riedel Jacquounain a fait la série de coques pour les téléphones.

A partir des années 2000, Jacquounain revient partiellement au travail sur les surfaces planes sans complètement abandonner les volumes. Il y a plusieurs thèmes plastiques : paysages

et en particulier le serie des paysages urbaines LUTECE

Foret urbain (ou se melangent le travail du peinture, sculpture et installation) – né du son travail sur la fresque et la sculpture TOTEM dans un quartier Bluets à Créteil

Gothicus comme la continuation du Foret Urbain

Fausselle ou la fausse réalité plusieurs tableaux – objects

Confinement (2020 – 2021)
Retour au serie des œuvres sur papier
« Les toits du Monmartre comme le jeu des echeques » 1981 – 1982)

et creation de serie « LOCKDOWN ou MONDE DANS L'AUTRE DIMENSION 2021 - 2022»


Dernierement META-ECOLOGIE 2022